-
Ou " Après le belle irlandaise" !
Cela me fait à chaque fois le coup ou presque. Quand, dans un occasion ou une autre, en l'occurrence et dans les deux cas une formation, je rencontre une dame qui a l'heur de me plaire, j'en tombe facilement amoureux. Et cela arrive si rapidement que, dans l'immense majorité des cas, cela débouche sur une déconvenue plus ou moins cuisante.
Je ne sais plus si c'est ici ou sur un fameux réseaux social ( " les réseaux sociaux sont les pissotières su 21 ème siècle", sans doute un peu excessif mais pas tout à fait faux.) que j'avais évoqué, lors de ma première formation estivale, le rencontre avec Christine une rousse et douce irlandaise qui, de plus, était de ma génération. Mais elle était aussi quelque peu mariée et de toute évidence heureuse en ménage.
Cette fois c'est une charmante dame amoureuse de la nature et de la Bretagne, entres autres choses, qui déclenche mes émois. Cela repose sur quoi ? Sur rien !
Et pourtant à chaque je pense et me jure que c'est la dernière fois et que l'on ne m'y reprendrait plus comme dans la fable.
Mais, quand on aime aimer et être aimé, comment ne pas craquer à chaque qu'il y a une vague "possibilité" ?
Ou comme disait Jean-Claude Dusse, "je crois que j'ai une ouverture".
Et là, je me sens minable et pitoyable...
votre commentaire -
Contrairement à ma précédente formation, nous comptons, dans ce groupe, la présence de deux dames.
J'ai constaté que cela changeait, quelque peu, l'ambiance.
En effet, les vannes, plus ou moins, salées ou vertes ( là, c'est quand même notre couleur de prédilection , à nous les jardiniers) sont apparues beaucoup plus lentement.
Et l'auteur de la première devinez qui c'est ? Ouais, j'ai honte. Mais bon cela n' a pas semblé choqué outre mesure mes collègues féminines. Elle a même fait rire Michèle. Celle que je trouve particulièrement charmante...
6 commentaires
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires