Comme je l'ai déjà, j'aime bien le foot mais je trouve que sa présence médiatique est un peu envahissante. Sans doute que cela, pour les médias, cela doit valoir le coup, au moins du point de vue économique.

A chaque fois que j'allumais la télé et encore plus à la radio, je tombais sur des gens qui parlaient de foot ! Je pense que la réflexion porte plus sur les médias et de notre comportement face à eux qui serait à développer que sur le foot et le sport en général. 

Mais là il est trop tard et il a fait trop chaud pour que je m'y attelle maintenant !

Quelle galère pour tous ceux et toutes celles qui n'aiment pas le foot.

Les joueurs français en se qualifiant pour la finale nous en remettent une couche, la dernière, jusqu'à dimanche soir.

J'apprécie beaucoup le football mais je reconnais que l'omniprésence dans les médias de cette compétition organisée en France et que, de plus, celle-ci va en finale me parait pour le moins excessive. 

Partout, partout, télés, radios, journaux, on ne voit que cela. Heureusement ou malheureusement je ne sais pas, qu'il n'y a pas eu d'événements dramatiques pendant ce temps là...

Mais je ne veux pas verser dans la théorie du complot du genre "on nous cache, on nous dit rien" ou "on profite du foot pour faire passer des lois iniques".

Et puis j'en ai aussi marre de voir sur certains réseaux sociaux des jeux de mots plus ou moins heureux qui traitent les amateurs de foot comme des décérébrés .Parce que on peut aimer le foot et lire (du Primo Levi, entre autres).

Voilà, c'était le petit coup de gueule du soir.

Coco rico !

Je ne sais pas si cela vous arrive mais ,parfois , dans la vie quotidienne, il se passe de petits mystères. Notamment, les disparitions d'objets.

L'autre soir j'ai fait tomber de la table basse, des papiers et des stylos. J'ai tout de suite tout remis en place mais j'ai constaté qu'il manquait un stylo. Je l'ai cherché partout: sous et sur le canapé, dans la pile de journaux, sous la caisse de bouquins, etc , etc..

Et rien, si ce n'est quelques moutons qui se croyaient bien peinards.

Et là, à l'instant, par hasard, mon regard s'est posé sur la caisse de livre sous laquelle j'avais jeté un coup d'œil persuadé qu'il n'avait pu glisser que là !

Pourtant il est bien plus logique qu'un objet avant de tomber sous quelque chose, tombe d'abord SUR quelque chose...

C'est vrai que sortir du bocal, c'est pas mal.

Mais moi, je m'y sens bien dans ce bocal.

Et puis je n'aime tellement pas mon état premier que j'adore être dans un état second.C'est tellement plus marrant. Certes ce n'est guère brillant pour la santé et c'est ,sans doute, une échappatoire.

Et puis le non sortie du bocal entraine-t-il ce désir de paradis quelque peu artificiels ou est-ce le contraire ? 

J'ai compris pourquoi, alors que je ne demandais qu'une formation en informatique-bureautique, on a insisté pour me fourguer aussi du français. Cet organisme privé de formation est financé par des subventions provenant des diverses institutions européennes ( si, si, Messieurs les Anglais l'Europe ça peut servir à quelque chose) , régionales, départementales, communales.

Et donc plus ils organisent de formations et plus celles-ci chargées en heures de "cours" plus les subventions tombent dans leur escarcelle.

Juste une histoire de pognon.

Encore.

Quand on sait que dans le domaine de la formation, des formations professionnelles, se sont des milliards d'euros qui sont brassés chaque année en France, on peut se poser des questions et donner là dedans un sérieux et vigoureux coup de balai.

Ps: D'ailleurs quand on voit l'activité des "formateurs" que l'on pourrait plutôt nommer "surveillants" je me demande si je ne vais pas envisager une reconversion dans le domaine de la formation.